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« En éducation, il y a des avancées qui ont été faites depuis que la Coalition avenir Québec est au pouvoir. Évidemment, il y a eu l’abolition des commissaires et la création des centres de services scolaires. Une première étape a été franchie avec le départ des commissaires, c’est clair », affirme Chantal Longpré. Elle estime qu’« il y a beaucoup de boulot à faire encore parce qu’on a toujours deux réseaux, le réseau public et le réseau privé ». « Le but n’étant pas de les faire disparaître nécessairement, mais de s’assurer de les harmoniser le plus possible. Sincèrement, je pense qu’il faut qu’il n’y ait qu’un seul réseau, et pas deux. »
« Ça ne peut pas se faire en un coup de baguette magique en disant : demain matin, on a un seul réseau et tout le monde devient autonome, et le gouvernement décide de financer tout le monde à 100 %. C’est impossible. Il va falloir qu’il y ait une transition ou qu’on réfléchisse à autre chose au niveau financier », ajoute Mme Longpré, qui connaît de l’intérieur tant le public que le privé.

Et pourquoi pas un seul réseau?